Quelle que soit les raisons et leurs provenances , la souffrance, le sentiment de vide, d’explosion mentale, d’être déprimé, de se sentir mal « à l’intérieur » et la liste est loin d’être exhaustive, cela n’est pas une fatalité.

Les thérapies ont montré leur efficacité quand bien des maux rendaient la vie difficile, en filigrane ou de manière constante.

Lors de phase critique (décès, changements de vie, ruptures sentimentales etc), mais pas seulement, elles contribuent largement à surmonter des circonstances bloquantes, à  apaiser les symptômes, comprendre ses conduites et ce qu’elles provoquent, y apporter des correctifs, être donc plus éclairé, s’interroger, élucider, mieux s’adapter, être plus autonome, prendre des décisions opportunes etc.

Aller mieux, pour ensuite aller bien, se sentir bien et conscient du fonctionnement de notre machine intérieure passe par une adhésion et un travail actif. Dans une visée de restructuration, d’apporter une évolution favorable au bien être et à l’épanouissement.  L’alliance thérapeutique avec le thérapeute est forte, c’est une relation de confiance, sans aucun jugement où la réflexivité est constante.

À terme la thérapie, si elle réussit, apporte un équilibre, plus de respect de soi-même, de sociabilité, de créativité, de dignité, de réalisation.

L’identité et la conscience sont renforcées, l’épanouissement est en marche.